Du 26 septembre 2024 au 26 janvier 2025
Tantôt drôle, tantôt effrayant, tantôt un mélange des deux, le dibbouk est hanté par les inspirations littéraires et cinématographiques juives. Cette âme errante qui prend possession d’un être vivant est issu du vieux théâtre yiddish, apparaissant dans la pièce « Entre deux mondes » de Shlomo An-ski et voyage depuis, sans passeport ni sans notion du temps et des défis de l’histoire, comme le montra par exemple La Danse de Gengis Cohn de Romain Gary. Le mahJ présente sous le commissariat de Samuel Blumenfeld et Pascale Samuel, avec la collaboration de Dorota Sniezek, une centaine d’œuvres issues de la peinture, de la musique, du cinéma, de la littérature, chacun provoquant à sa manière cette âme taquine.
Le Dibbouk. Fantôme du monde disparu | Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (mahj.org)