Jusqu’au 14 novembre 2022 au Museo Sefardi

En lien avec la commémoration du 800e anniversaire de la naissance d’Alphone X « le Sage » le Museo Sefardi, exemple contemporain de la vie multiculturelle de la ville de Tolède, revient sur cette figure marquante de l’histoire nationale. En évoquant la vie culturelle et la place du judaisme à l’époque du roi espagnol, tentant de comprendre le contexte et les enjeux de l’époque. La participation des juifs à la vie scientifique, culturelle et politique, ainsi que leur relation avec la cour et la culture musulmane locale, ainsi que la place jouée par la ville de Tolède dans toutes ces rencontres.

https://losjudiosenlacortedealfonsox.es

Jusqu’au 11 décembre 2022 à la Caserne Dossin

L’exposition présentée à la Caserne Dossin revient sur le concept d’universalisme associé à celui de « droits humains ». En retraçant l’origine de cette association, l’impact sur la vie de tous les jours et le role de chacun dans cette construction. Une présentation en forme de triptyque dont le premier volet est consacré au choc provoqué par la Seconde Guerre mondiale et la Shoah, menant à la Déclaration universelle des Droits de l’Homme des Nations unies en 1948. Le second volet aborde les différents regards de civilisations antiques sur la question. Quant au troisième, il se focalise sur les figures et approches contemporaines.

https://kazernedossin.eu/fr/expo/universal-human-rights/

Du 16 septembre 2022 au 5 mars 2023

Le musée juif de Belgique présente la première rétrospective consacrée au peintre bruxellois. Certes, Arié Mandelbaum a été exposé en Belgique et à l’étranger, mais il s’agit de la première initiative de ce genre. Une quarantaide d’oeuvres datant de 1957 à 2016, sont ainsi présentées. De ses débuts expressionnistes à ses oeuvres témoignant d’une certaine fragilité. Y sont abordés les sujets liés à la vie familiale, au corps humain, mais aussi les engagements politiques de 1968, de la guerre du Vietnam, l’assassinat de Lumumba et la mémoire de la Shoah, lui qui fut un enfant caché pendant la Seconde Guerre mondiale.

Musée juif de Belgique

Jusqu’au 19 mars 2023 au Musée Judenplatz Vienne

Le Café Arabia, qui ouvrit ses portes en 1951, fut situé au centre de la ville, sur le Kohlmarkt. Il révolutionna la culture locale du café en important le savoir-faire italien. Disparue en 1999, ce lieu mythique fut créé par Alfred Weiss (1890-1973). Cet entrepreneur développa la marque Arabia et en fit son succès dans l’entre-deux-guerres. Devant fuir pendant la Shoah, la famille retourne à Vienne après la guerre et reconstruit l’entreprise qui avait été démantelée et « aryanisée ». L’expostion, organisée par Apostolo et Michael Freund, revient sur cette fabuleuse épopée.

https://www.jmw.at/exhibition/espresso_at_last_the_cafe_arabia_on_kohlmarkt

Jusqu’au 13 novembre 2022 au Musée Dorotheergasse Vienne

Cette exposition présentée au musée juif de Vienne examine la question délicate de l’amour et de la sexualité dans le judaisme. Celle-ci étant présente dès le début de la Bible avec la bénédiction de Dieu enjoignant Adam et Eve de se multiplier. Les textes faisant maintes fois référence à l’épanouissement sexuel d’un couple comme condition au bonheur. Sont examinés dans cette présentation le role du shadkhan, des conseillers en la matière comme l’iconique Dr Ruth Westheimer et le regard du judaïsme face aux questions contemporaines LGBTQ. Une exposition organisée par Danielle Spera, Daniela Pscheiden et Julia Windegger.

https://www.jmw.at/exhibition/love_me_kosher

Jusqu’au 19 mars 2023 au Musée juif Hohenems

Interrogé au sujet de la création du musée juif, le dirigeant communautaire Paul Grosz répondit sèchement en comparant cela avec la muséification de l’histoire des Indiens et célébrés en mode taxidermie. S’interrogeant sur cette crainte initiale devient un défi de plus en plus complexe face aux 120 musées juifs existant dans le monde et leur diversité de présentation et d’objectifs. Notamment sur les significations de culture juive, les différentes perspectives et la manière de la partagée.

Du 23 au 29 décembre 2022

Créé en Angleterre en 1980, le Festival Limmud est aujourd’hui présent dans 80 villes à travers le monde, de Pékin à Bogota et surtout en Europe. Il permet d’aborder la vie culturelle juive sous d’innombrables thématiques, dans un esprit de partage et pluriculturel. L’événement de fin d’année est le principal organisé, s’étalant sur une semaine et permettant ainsi à des milliers de participants de prendre le temps des rencontres, de l’écoute, de l’enthousiasme et de la volonté de rééditer l’expérience…

Jusqu’au 19 février 2023 au Musée juif de Manchester

Cette exposition du Musée juif de Manchester permet aux visiteurs de mieux cerner l’expérience du shabbat. Chaque samedi, deux installations sonores seront à disposition des visiteurs. Des extraits où des juifs mancuniens racontent leurs souvenirs et sensations particulières lors du jour du repos du calendrier juif. Une oeuvre sonore réalisée par la compagnie No Ordnary Experience et créée par le musicien Ben Osborn et les comédiens Georgina Bednar et Rachel-Leah Hosker.

https://www.manchesterjewishmuseum.com/exhibition/take-a-load-off/

Jusqu’au 31 décembre 2022 au Musée juif de Munich

50 ans après la prise d’otages d’athlètes israéliens par des terroristes palestiniens qui se solda avec leur assassinat, la ville de Munich leur rend hommage. Chaque mois de l’année 2022 est dédié à une des victimes. De nombreux événements se déroulent dans la ville, organisés en coordination avec de nombreuses associations locales et étrangères. Un blog a également été créé pour accompagner l’événement. Une histoire bouleversante de résistance, focalisant sur les victimes héroiques qui résistèrent et à l’image de l’athlète Moshe Weinberg se défendirent au péril de leur vie pour sauver 7 autres athlètes.

https://www.juedisches-museum-muenchen.de/en/exhibitions/twelve-months-twelve-names

Jusqu’au 1er janvier 2023 au Musée juif de Francfort

Lors de l’exposition Synagoga de 1964, l’historien Ernst Scheyer rendit hommage à l’artiste Ludwig Meidner, présumé mort. Il fut interrompu par un membre du public qui déclara, »Je suis présent – Meidner ». Décédé en 1966, Ludwig Meidner fit partie des artistes bohèmes allemands obligée de fuir pendant la guerre. Le musée juif de Francfort présente, à l’occasion de cette exposition organisée par Laura Schilling et Asta von Mandelsloh, de nombreuses oeuvres, dont une partie inédite, dont une partie est issue de la collection de sa soeur.

https://www.juedischesmuseum.de/en/visit/detail/ludwig-meidner-special-exhibition/

Le 24 novembre 2022 à l’Institut Cervantès

Naima Chemoul et Jean-Luc Amestoy présentent des compositions originales pour voix et piano afin d’accompagner ce texte de Marcel Cohen. Bercé par le judéo-espagnol dans une famille parisienne originaire de Turquie, Marcel Cohen a évoqué les thèmes de la langue maternelle et de l’exil. La lecture musicale ambitionne de porter la question universelle de l’identité et de la reconquête d’une mémoire contre l’oubli.

https://paris.cervantes.es/fr/default.shtm

Le 24 janvier 2023 au Centre Medem

Depuis le tournant du siècle, le klezmer est devenu une musique, un brassage et une ambiance incontournable de nombre de fêtes bien au-delà des cultures individuelles. Qu’est-ce qui a permis et favorisé ce succès ? Denis Cuniot et Lise Amiel-Gutmann évoqueront au Centre Medem l’apparition et le renouveau du klezmer en France, dont Denis Cuniot est en grande partie à l’origine. Cela en compagnie de musiciens klezmer tels Guillaume Dettmar-Vital, Marine Goldwaser, Samuel Maquin et Charles Rappoport.

https://www.centre-medem.org/

Le 4 septembre 2022 au mahJ

A l’occasion des Journées européennes de la culture et du patrimoine juifs, le mahJ organise une journée faites de rencontres et d’ateliers. Celle-ci permettra au public de (re)découvrir l’histoire et la culture des juifs d’Ukraine et des villes environnantes. Sa riche et tragique histoire, berceau de tant de mouvements politiques, culturels et religieux. Parmi les événements proposés cette journée : l’atelier « Délices de la mer Noire », l’atelier « Conte à écouter, conte à déplier », la visite guidée de l’expo « Issachar Ber Ryback » et une rencontre avec l’historienne Galia Ackerman sur le thème « Juifs d’Ukraine, une mémoire en péril ».

https://mahj.org/fr/programme/l-agenda-du-mahj

Jusqu’au 30 septembre 2022 à la Galerie Saphir

Dans le cadre des Journées européennes de la culture juive, la galerie Saphir prolonge cette exposition honorant l’humanisme et la résistance dans l’art face au tragique du monde et de la guerre. Cette galerie, située littéralement à deux pas du mahJ, est un lieu bien connu et ancien du partage de la culture juive. Cet esprit se reflète à nouveau à travers cette exposition, prolongeant le rêve de Stefan Zweig d’une Europe juste et généreuse.

https://www.galeriesaphir.com/

Jusqu’au 9 janvier 2023 au Musée National Marc Chagall

Suite au don de Bella et Meret Meyer au Musée Chagall de sept ouvrages rares de bibliophilie, l’exposition présente le lien entre Chagall et l’écriture. Notamment la centaine de livres qu’il illustra. Y est souligné le lien entre le dessin et les mots dans son œuvre mais aussi ses relations avec le monde de l’édition et de l’impression. Parmi les ouvrages moins connus exposés, les Lettres d’hivernage, créé à partir d’un recueil de poèmes de Léopold Sédar Senghor.

https://musees-nationaux-alpesmaritimes.fr/chagall/type-evenement/exposition-en-cours

Le 9 décembre 2022 au Mémorial des Déportations

Le Mémorial des Déportations inaugure au sein de son parcours semi-permanent deux nouvelles créations mémorielles et artistiques sur la Résistance à l’occupant nazi et au gouvernement de Vichy mais aussi à l’enfer du système concentrationnaire  : une « Exposition Résistants, une génération oubliée », une création audiovisuelle artistique immersive, « Résister ». Faire acte de résistance dès 1940 quand on a  20 ans et accepter de prendre tous les risques au péril de sa vie nous invitent à nous interroger sur leur motivation, leur attitude face au danger, aux souffrances physiques et morales. Ces deux productions mémorielles et artistiques ont été conçues à partir d’une série photographique et audiovisuelle imaginée et réalisée en 2011 par Sand Arty.

https://musees.marseille.fr/memorial-des-deportations-0

Le 20 octobre 2022 à la Maison de la culture yiddish

La littérature yiddish soviétique a eu un grand rayonnement dans le monde, bien au-delà des milieux communistes. Sa suppression brutale, en 1948, a été connue, par étapes, seulement après la mort de Staline en 1953. Ce fut le début du long déclin de l’influence communiste en milieu juif. L’historien Philippe Boukara revient lors de cette conférence sur le retentissement en France des crimes soviétiques.

Du 28 septembre 2022 au 16 janvier 2023 au Musée de l’Orangerie

Le peintre figuratif Sam Szafran (1934-2019) a développé son œuvre loin du monde de l’art et de ses engouements, dans le retrait de l’atelier. Un choix motivé par l’enfance douloureuse qui fut la sienne dans une famille d’origine juive-polonaise pendant la Shoah. Adepte de la solitude, il se focalise sur sa propre existence et ses états intérieurs pour donner naissance à ses thèmes de prédilection. Trois ans après la disparition de l’artiste, le musée de l’Orangerie met en lumière, dans la première exposition organisée par un musée français depuis deux décennies, les quelques sujets pour lui existentiels – ateliers, escaliers et feuillages – qui ont tous en commun son environnement immédiat.

https://www.musee-orangerie.fr/fr/agenda/expositions

Jusqu’au 7 novembre 2022 au Mémorial de la Shoah

Au printemps 1967, le magazine Le Nouveau Candide publie les bonnes feuilles de La Grande Rafle du Vel d’Hiv, 16 juillet 1942 de Claude Lévy et Paul Tillard (Robert Laffont). Pour illustrer cette série en cinq épisodes, la rédaction fait appel à un jeune dessinateur de 29 ans, Jean Cabut, dit Cabu.

À l’occasion des 80 ans de la rafle du Vel d’Hiv, Véronique Cabut, son épouse, et le Mémorial de la Shoah proposent de redécouvrir ces dessins jamais exposés depuis leur parution. Cette exposition est aussi un hommage à un dessinateur génial et populaire qui fut l’une des douze victimes de l’attentat djihadiste du 7 janvier 2015 contre la rédaction de Charlie Hebdo.

https://billetterie.memorialdelashoah.org/fr/evenement/cabu-dessins-de-la-rafle-du-vel-dhiv

Du 13 octobre 2022 au 5 mars 2023 au mahJ

Cette exposition de 180 photos, dont certaines inédites, met en lumière le travail de l’artiste aussi bien dans son activité journalistique que sur sa vie personnelle pendant l’Occupation. Ainsi, on suit son installation à Paris en 1936, capitale de la mode, son internement dans des camps français et sa révélation au grand public et ses succès américains d’après-guerre. On se promène également le long de son évolution artistique, de ses débuts dadaïstes aux photomontages politiques à ses innovations dans la prise de vue et en laboratoire.

https://mahj.org/fr/programme/l-agenda-du-mahj

Le 15 septembre 2022 à l’AIU

Cette conférence est organisée par la Bibliothèque de l’Alliance Israélite Universelle. Jean-Claude Kuperminc, le Directeur de la bibliothèque et des archives dialoguera avec l’auteure Meredith L. Scott. Elle présentera la traduction française de son livre consacré à Salomon Grumbach. Ce juif alsacien, journaliste et politicien socialiste fut l’un des plus importants défenseurs des réfugiés de l’entre-deux-guerres en Europe. Au cours des premiers mois de la Seconde Guerre mondiale, près d’un millier de réfugiés et de demandeurs d’asile détenus dans les camps d’internement français ont demandé son aide.

https://www.aiu.org/fr/bibliotheque

Le 11 septembre 2022 à l’ACJ

A l’occasion de la publication de son livre « Les Exportés », la journaliste Sonia Devillers revient sur le départ brutal de sa famille juive de Roumanie. Un livre qui retrace le chemin de cet exil forcé, les conditions et acteurs, ainsi que toutes les parts d’ombre des autorités en place.

ACJ, 55 rue des Ponts, Nancy

https://acj55.fr/

Le 19 septembre 2022 au CCJC Neuilly-sur-Seine

Ce documentaire, produit par Gilles Samama, écrit par Sonia Fellous et réalisé par Ruggero Gabbai, parle de l’histoire et de la vie de la communauté juive de Tunisie jusqu’à son départ vers la France et de sa nouvelle vie à Paris. À travers une série de témoignages et de recherches d’archives, le film retrace les destins souvent bouleversés et bouleversants de trois générations de juifs tunisiens.

https://https://ccjc-neuilly.com/ccjc-neuilly.com/

27 mars – 22 décembre 2022 au Mémorial de Drancy

Trésors des familles qui les ont confiés au Mémorial, ces lettres sont le témoignage bouleversant de l’humanité derrière les noms et les nombres. Écrites au Vel d’Hiv, à Drancy, dans le Loiret et dans d’autres camps d’internements ces lettres reviennent, 80 ans plus tard, sur ces lieux de mémoire, pour témoigner, à travers leurs auteurs, de la Shoah en France. Si certaines lettres tentent d’obtenir une libération auprès des autorités administratives ou par le biais de proches, d’autres sont marquées par un sentiment d’adieu, à mesure que le départ approche. Après la guerre, la lettre administrative fera son retour, sous la plume des rescapés qui tenteront de retrouver la trace des membres de leur famille disparus.

Les 17 et 18 septembre 2022

Tout au long de l’après-midi, retrouvez les médiatrices du musée départemental Albert-Kahn pour des moments d’échanges historiques et botaniques ! La nouvelle exposition permanente du musée se déploie sur les 4 hectares de l’ancienne propriété du banquier philanthrope, mêlant espace d’exposition et scènes paysagères. En visitant notamment le village japonais, ses différents jardins et en participant au projet de science participative.

https://albert-kahn.hauts-de-seine.fr/la-programmation/evenements

Du 4 septembre au 18 décembre 2022 au Centre de la Résistance de Lyon

À travers les 1er et 2e arrondissements, ce parcours suit les pas de Jean Moulin. Chaque étape donne l’occasion d’expliquer sa mission et de présenter les résistants qui ont agi à ses côtés… sans oublier les circonstances et les conséquences de son arrestation, le 21 juin 1943, à Caluire. (Re)découvrez cette période de l’histoire de Lyon à travers des parcours thématiques dans la ville.

https://www.chrd.lyon.fr/agenda

Janvier – février 2023 à l’Institut Universitaire Européen Rachi

En partenariat avec La Compagnie Théâtre’âme, la Médiathèque Jacques Chirac et le Théâtre de la Madeleine, l’Institut Universitaire Européen Rachi propose une série de rencontres. La première se déroulant le 12 janvier avec la présentation d’extraits de « Réflexions sur la Question juive – Un cabaret » suivi d’une discussion avec Paul Gradvohl et Gérard Rabinovitch. Cette pièce représente un antidote salutaire au climat antisémite contemporain. Le 7 février, l’auteure Aurélie Barjonnet donnera une conférence sur L’ère des non-témoins. La littérature des « petits-enfants de la Shoah », examinant comment des écrivains qui n’ont pas vécu la Shoah racontent cela.

Le 11 septembre 2022 au Musée Judéo-Alsacien

Dans le cadre du mini festival de musique Juive, l’Office de Tourisme intercommunal propose une conférence musicale au Musée Judéo-Alsacien. Elle sera donnée par Pierre Frath, et présentera l’histoire des langues juives dans le monde. Une conférence accompagnée par les chants de Madeleine Wolf. Son goût du chant lui vient de son arrière-grand-mère et de sa grand-mère maternelle juive qui ont connu le Berlin de l’entre-deux-guerres.

https://www.museejudeoalsacien.fr/

Jusqu’au 19 mars 2023 au Struthof, Centre européen du résistant déporté

Cette exposition focalise sur les liens entre la faculté de médecine de la Reichsuniversität Straßburg et le camp de concentration de Natzweiler. Les déportations, expérimentations médicales et assassinats furent documentés auparavant. Les récents travaux de la commission historique sur la faculté de médecine de la Reichsuniversität Straßburg ont mis en lumière les interactions du quotidien et la manière dont ce camp fut intégré dans le système nazi de couverture sanitaire et d’hygiène raciale.

https://www.struthof.fr/

Du 8 novembre au 13 décembre 2022 à l’Institut Universitaire d’Etudes Juives Elie Wiesel

Sonia Fellous, à travers six séances se déroulant en présentiel et par zoom, présente les grandes périodes de l’art juif. Les expressions de grandeur, de peur et d’espoir. En examinant les enjeux non seulement artistiques mais civilisationnels sur la mémoire et la transmission. La présentation des cours est accompagnée d’une citation d’Elie Faure : « La Grèce avait découvert son âme dans la forme, Israël avait tenté d’imposer son âme à la forme ». L’incontournable historien s’interrogea effectivement sur le rapport compliqué du judaïsme à l’art au moment où il prenait ses lettres de noblesse en Grèce.

http://www.instituteliewiesel.com/